Le réel revisité par le numérique, le pixel comme pinceau, cela donne les paysages imaginaires et les images abstraites mais non moins pourvues de sens (multiples) que signe Yves Le Dortz. À partir de photos, il emprunte, dit-il, les techniques issues de la peinture (cubisme, surréalisme, hyperréalisme, constructivisme) pour créer des atmosphères irréelles et étranges, des visions à plusieurs horizons qui pourraient être sorties de rêves – ou de cauchemars.
À voir du 5 juin au 31 août à Paris, au Batofar, amarré au Port de la gare, devant la Bibliothèque nationale de France (renseignements au 06.21.21.55.34). Vernissage le 8 juin à partir de 18 heures.
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