Le Syndicat national des chirurgiens orthopédistes (Snco) est prêt à s'associer au mouvement de grève de la rentrée de septembre qu'ont décidé le collectif des chirurgiens de secteur I (Cochise), l'Union collégiale des chirurgiens et des spécialistes français (Uccsf), le Syndicat national des gynécologues et obstétriciens de France (Syngof), les Chirurgiens de France...
Le Snco déplore que rien ne soit fait pour redresser la situation de la profession en France : « Numerus clausus , judiciarisation, augmentation des primes de responsabilité civile professionnelle (RCP), réduction du temps de travail (RTT), absence de revalorisation des honoraires, retard considérable de la mise en place de la nomenclature, menaces sur le secteur II... Malgré tous les avertissements qui ont été lancés, les rapports réalisés, l'observatoire de la démographie, aucune décision n'est prise. »
Le syndicat propose plusieurs pistes pour revaloriser la chirurgie et ses spécialités :
- l'augmentation du recrutement et de la formation des chirurgiens orthopédiques pour pallier la pénurie programmée en 2006 ;
- le plafonnement des primes de RCP et la création d'un fonds national adossé à un observatoire de la sinistralité ;
- le soutien du passage des chirurgiens en secteur II ;
- la défense des services de chirurgie orthopédique menacés de disparition par le plan Hôpital 2007.
CHIRURGIE
Les orthopédistes ne décolèrent pas
Publié le 26/02/2004
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 7487
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature