L’Institut National de Veille Sanitaire a réalisé une étude sur huit usines d’incinération d’ordures ménagères de différentes générations pour évaluer la teneur en dioxine et en métaux lourds des personnes vivant autour et à distance des sources polluantes. « Chez les personnes n’ayant pas consommé d’aliments produits localement, les niveaux d’imprégnation de dioxines et PCB étaient similaires entre zones exposées et non exposées : ce résultat n’est pas en faveur du rôle de l’exposition par inhalation (question fortement soulevée initialement), ce qui est cohérent avec les résultats d’études réalisées à l’étranger », peut on lire dans le résumé de ce document de 146 pages. Pour les auteurs, la consommation de produits locaux (lait et œufs) intervient très fortement dans la concentration en dioxine de la population résidant à proximité d’un incinérateur.
Les incinérateurs blanchis
Publié le 13/03/2009
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Crédit photo : ©GARO/PHANIE
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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