Critiquant la « forme autoritaire » de l'accord signé entre l'Etat, les caisses de Sécurité sociale et le Conseil national de l'Ordre des médecins concernant la permanence de soins en médecine de ville, le Syndicat national des jeunes médecins généralistes (SNJMG) dénonce à son tour la « condescendance » avec laquelle l'administration et le secteur hospitalier ont considéré l'implication des médecins généralistes lors d'une réunion de travail sur les urgences organisées le 15 mars au ministère de la Santé.
« Seul un système incitatif de permanence des soins permettra de résoudre efficacement les problèmes de démographie médicale », réaffirme le syndicat.
Les jeunes généralistes réclament notamment « la reconnaissance réelle de la permanence de soins comme mission de service public,le partage de cette mission entre médecins, pompiers, SAMU et services hospitaliers d'accueil des urgences, le même cadre d'exercice pour tous les professionnels intervenant dans cette mission, la délégation de l'organisation de la garde ambulatoire à des associations locales de médecins volontaires, la possibilité pour des médecins non installés de participer à cette garde ambulatoire ».
Les gardes doivent reposer sur le volontariat, selon le SNJMG
Publié le 19/03/2002
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7090
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