D’importantes avancées ont eu lieu ces derniers mois sur les tumeurs corticosurrénaliénnes, bégnines et malignes, avec la découverte d’une étiologie précise pour les hyperplasies macronodulaires bilatérales des surrénales, un démembrement moléculaire des corticosurrénalomes malins et la découverte d’une mutation activatrice de la PKA. Les tumeurs hypophysaires, elles, bénéficient de l’arrivée du pasiréotide, quand, dans le cancer thyroïdien, on pourrait éviter le traitement inutile d’un cancer sur trois si la décroissance thérapeutique est validée.
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