L'Intersyndicat national des chefs de clinique assistants (ISNCCA) soutient la grève des gardes et astreintes lancée, à compter du 19 novembre, par l'Intersyndicat national des internes des hôpitaux (ISNIH) et dénonce dans un communiqué les « mesures antijeunes dont sont victimes les internes ».
Les chefs de clinique soulignent que les internes restent « un pivot central à l'hôpital » et que cela « justifie une reconnaissance et une amélioration de leurs conditions de travail ». L'ISNCCA s'associe en particulier à la demande des internes d'une « reconnaissance légitime d'un repos de sécurité après la garde (...) tout en préservant la rémunération de celle-ci ». Il est, ajoute l'ISNCCA, « injuste que les internes soient les seuls praticiens à poursuivre leurs activités de soins après une garde », et il serait « dommageable de léser un corps de praticiens qui effectue une grande partie des gardes hospitalières ».
Les chefs de clinique contre les « antijeunes »
Publié le 14/11/2001
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7010
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