L’aspartame et ses produits de dégradation sont sûrs pour la consommation humaine aux niveaux actuels d’exposition, a conclu dans un avis l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA). « À la suite d’un examen approfondi des preuves apportées par des études menées tant chez l’animal que chez l’homme, les experts ont exclu le risque potentiel que l’aspartame provoque des dommages aux gènes ou induise le cancer », assure EFSA. Les experts excluent tout risque pour le cerveau et le système nerveux et toute influence sur le comportement ou le fonctionnement cognitif chez les enfants et les adultes. Même chose pour la grossesse : « ll n’existe pas de risque pour le développement du fœtus suite à une exposition à la phénylalanine dérivée de l’aspartame à la DJA actuelle (sauf chez les femmes souffrant de phénylcétonurie) », souligne l’autorité européenne. La dose journalière acceptable (DJA) actuelle de 40 mg/kg de poids corporel/jour constitue une protection adéquate pour la population générale. Elle n’est pas applicable chez les patients souffrant de phénylcétonurie.
ASPARTAME
L’EFSA confirme l’innocuité de l’aspartame
Publié le 12/12/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9288
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature