Un hommes sur quatre et une femme sur trois souffrent de mal-être au travail selon le programme Samotrace (Santé mentale observatoire travail Rhône-Alpes Centre) développé avec l’Institut National de Veille Sanitaire. Parmi les 6056 salariés étudiés, les catégories employés et professions intermédiaires sont les plus concernées. Les professions les plus touchées sont : les finances, l’administration publique et la production et distribution d’électricité, de gaz et d’eau. L’évaluation de la santé mentale dans le cadre de la surveillance des maladies à caractère professionnel objective des résultats assez similaires. Dans une étude dijonnaise, le « job strain » comportant forte contrainte et faible latitude décisionnelle concerne 19,6 % pour les hommes et 28 % pour les femmes. En revanche, pour la santé mentale la convergence entre contrainte et survenue d’une pathologie est qualifiée de « relative ».
Le travail en souffrance
Publié le 03/04/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés

Crédit photo : ©GARO/PHANIE
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Généraliste: 2484
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature