Les nouveaux films
De Mathieu Amalric
Pour son deuxième film de réalisateur, Amalric s'est inspiré d'un roman de Daniele del Giudice « qui parle de laisser faire le hasard », l'histoire d'une femme (Jeanne Balibar) sur les traces d'un écrivain voyageur qui a renoncé à écrire. « Je suis parti directement du livre, sans scénario, sans préparation, explique le réalisateur. (...) Je voulais me mettre dans cet état de hasard, ne même plus savoir pourquoi on allait à Trieste. Trois jours avant, je ne savais pas avec qui on tournait, ni ce que la scène devait raconter. »
« Un homme d'exception »
De Ron Howard
Le titre anglais « A Beautiful Mind » (un bel esprit) était plus parlant pour évoquer le mathématicien John Forbes Nash, schizophrène et prix Nobel d'économie. Recruté pour son talent d'analyste par le Département de la Défense, Nash est chargé de décrypter dans la presse les messages secrets des agents russes, ce qui ne va pas sans risques. Avec Russell Crowe dans le rôle-titre et Jennifer Connelly dans celui de sa femme.
« Un amour à New York »
De Peter Chelsom
Noël 1990, rencontre coup de foudre à Manhattan ; mais Sara et Jonathan ont chacun leur vie : par le réalisateur britannique de « Funny Bones », une comédie sentimentale avec Kate Beckinsale et John Cusack.
« Atanarjuat, la légende de l'homme rapide »
De Zacharias Kunuk
Le premier film inuit produit par des Inuits et aux dialogues en langue inuit, Caméra d'or lors du dernier festival de Cannes et candidat du Canada aux oscars. 2 h 52 pour une histoire à la fois universelle et typiquement inuit, inspirée d'une ancienne légende et qui met en scène une femme et deux hommes de clans rivaux.
« Visionnaires »
De Manuel Gutiérrez Aragon
Dans l'Espagne des années trente, un village est bouleversé par de supposées apparitions de la Vierge ; selon les jeunes gens qui affirment l'avoir vue, elle annonce une horrible guerre.
« Le Mal »
D'Alberto Seixas Santos
Dans une ville portugaise, des vies se déroulent en plans parallèles et par moments se croisent.
« Les Couilles de l'éléphant »
De Henri Joseph Koumba Bididi « Nous avons cherché quelque chose qui soit hardi, osé, mais quelque chose d'intelligent qui corresponde à l'audace qu'il y a dans le film », explique le réalisateur à propos du titre français de cette comédie franco-gabonaise (titre original, « Djogo »). C'est le portrait d'un homme politique gabonais surnommé l'Eléphant et qui a des problèmes, y compris d'érection, juste avant les élections législatives...
« La forteresse suspendue »
De Roger Cantin
Un film québécois pour la jeunesse, une fable sur la guerre à travers l'affrontement traditionnel des enfants de deux campings, chaque été au bord d'un lac.
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