Le syndicat national des enseignants de médecine générale (SNEMG) déclare partager le constat fait par l’association des internes en médecine générale de Lille (AIMGL) concernant les « conditions dégradées d’enseignement de la médecine générale dans la plus grande faculté de Médecine de France en nombre d’étudiants à former ». Si d’une part le SNEMG pointe un ratio enseignants-enseignés particulièrement bas (1/190) pour la Faculté de Médecine de Lille, d’autre part le syndicat souligne que la situation lilloise, qu’il qualifie de « catastrophique », est loin de faire l’exception. « Partout il manque cruellement d’enseignants de médecine générale et de chefs de clinique » déplore-t-il. Le SNEMG réclame d’ailleurs que les 26 enseignants de médecine générale qui s’étaient porté candidats à un poste de maître de conférence associé et qui ont été reconnus aptes par le Conseil national des Universités (CNU) soient nommés.
Le SNEMG dénonce un « manque criant d’enseignants »
Publié le 26/08/2013
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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