Photo instructive publiée dans la rubrique «Minerva » du « British Medical Journal » du 10 août : des mains jointes sur fond de robe rouge. Ou plutôt, des mains mal jointes. Les mains et la robe sont celles d'une jeune fille de 16 ans, diabétique depuis dix ans, mal contrôlée.
La patiente n'arrive pas à joindre correctement ses mains : seules les paumes des mains et les pulpes des doigts sont jointifs. Il s'agit du signe de la prière, qui serait, selon les auteurs une complication précoce et sévère du diabète de type 1.
Quelques études, indiquent les auteurs, ont montré que le signe de la prière est corrélé avec d'autres complications microangiopathiques, notamment la rétinopathie.
Shriraam Mahadevan et coll. Chandigarh, Inde. «BMJ » du 10 août 2003, p. 402.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature