Bonne nouvelle pour les patients ayant eu un infarctus du myocarde ou un AVC : il n’y a pas de raisons de renoncer aux joies de la sexualité. Selon un cardiologue américain de l’université de Loyola, John Moran, une activité sexuelle n’est pas plus intense pour le cœur qu’un parcours de golf et semblerait donc sans danger.
Mais, car il y a un « mais », ces activités se conçoivent évidemment chez un patient équilibré au plan cardio-vasculaire et dans le cadre d’une relation établie de longue date, de type conjugal en somme.
Du sexe oui, mais pas de fredaines !
Communiqué de l’université de Loyola.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature