L’enjeu est de ne pas méconnaître une pathologie organique sans « pathologiser » une puberté différée. Le retard simple (30 % des cas) est évoqué sur la cohérence entre âge osseux, statural et stade pubertaire, les antécédents familiaux et un début de développement utérin à l’échographie. Le diagnostic n'est retenu qu'au terme d’une enquête étiologique négative La puberté peut être différée du fait d'une pathologie organique chronique, mais on recherchera tout particulièrement chez la fille des troubles du comportement alimentaire ou une pratique sportive intensive surtout dans les disciplines exigeant une certaine minceur comme la natation artistique, la gymnastique, le patinage…etc. Un retour à un entraînement et une nutrition plus physiologiques permet généralement le rattrapage pubertaire et staturo-pondéral.
Le retard pubertaire simple
Publié le 13/03/2009
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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