Je viens de lire l’article sur le DPC (Le Généraliste n°2643, p.12) et je ne suis pas surpris du peu d'engouement de la profession pour le DPC. Nos conditions d'exercice sont déplorables et tournent à la catastrophe. Si je m'absente un ou deux jours pour une formation, je vais le payer au prix fort en rentrant : double de travail ! Dans mon secteur, il y a 3 départs prévus avant fin août et aucun remplacement : comment voulez-vous que nous puissions nous former ? Nous avons aussi, comme les patients, besoin d'un peu de repos et de loisirs : c'est important pour notre équilibre ; Je pense que cette nécessité de repos passe dès à présent avant l'obligation de formation. Il serait utile de savoir où en est l'état de burn out de la profession : Je suis très inquiet de constater dans quel état d'épuisement sont certains de mes confrères qui ont encore au mois 20 ans à faire ; je pense qu'ils changeront soit de région, soit d'orientation avant ce terme.
Le repos passe avant la formation
Publié le 17/05/2013
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Dr Michel Simonot, Somain (Nord)
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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