« Je suis innocent, je n'ai jamais violé quiconque ! » A l’ouverture de son procès en appel devant la cour d'Assises de la Gironde, Daniel Cosculluela, un psychiatre de Bergerac accusé de viol par quatre de ses patientes, s'est présenté comme la victime d'un «acharnement».
Ce procès en appel fait suite à sa condamnation par les assises de la Dordogne à 12 ans de réclusion. Plusieurs plaintes sont à l’origine de cette affaire. En décembre 1997, une première patiente avait déposé plainte, dénonçant un rapport sexuel avec son thérapeute à l'issue d'une séance d'hypnose. Trois autres patientes s'étaient constituées parties civiles pour des faits de même nature. Le procès de l’ancien médecin, âgé de 53 ans et qui comparait libre, doit se prolonger jusqu’au 19 février.
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