Le caractère chronique de la lombalgie fait trop souvent renoncer à une sexualité satisfaisante et les éventuels troubles sexuels passent généralement au second plan. «C’est une erreur, estime le Dr Sylvain Mimoun (gynécologue-andrologue, hôpital Cochin, Paris). Au contraire, la mobilisation, l’antalgie et la prise en charge des troubles sexuels peuvent amender la douleur et faire progresser vers le plaisir. C’est parce que les lombalgiques chroniques iront mieux sur le plan sexuel que leurs symptômes physiopathologiques pourront s’en trouver réduits : le plaisir est le meilleur anti-douleur. » Le rôle essentiel du médecin généraliste est de redonner confiance au patient, de réduire sa douleur et de relayer le message que le meilleur soin est le mouvement. Une fois cet aspect maîtrisé, le généraliste peut également proposer des IPDE-5, ou adresser son patient à un spécialiste.
Lombalgies chroniques
« Le plaisir est le meilleur antalgique »
Publié le 18/05/2012
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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