« Je suis de culture confucéenne », a annoncé Valéry Giscard d’Estaing, l’invité de prestige de ce forum médical. Mais au-delà de ce retour sur la scène médiatique, l’ancien président de la République a reconnu d’entrée de jeu l’impuissance des pouvoirs publics français ou étrangers à financer les systèmes de protection sociale: « En aucun pays, on ne sait comment financer de manière socialement satisfaisante des dépenses en croissance rapide. » D’autant que le secteur de la santé ne ressemble à aucun autre. « Il est hors normes. Il n’obéit pas aux même priorités et ne suit pas les même règles que les autres activités. » Face à cette quadrature du cercle, une seule chose est certaine : la contrainte financière devrait être de plus en plus forte. En revanche, la santé échappe aux clivages idéologiques hexagonaux du type enseignement public/enseignement privé. Dans ce contexte, Valery Giscard d’Estaing prend le parti pour résoudre les problèmes de miser sur la sagesse et la raison des Français. Pari pour le moins risqué...
Le pari de Valéry Giscard d’Estaing
Publié le 10/11/2009
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Source : Décision Santé: 259
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