On peut boire l’eau du robinet sans arrières-pensées. C’est le ministère du Développement durable qui le dit. A quelques heures de la diffusion d'un documentaire et d'un débat sur la qualité de l'eau sur France 3, il a répondu lundi aux inquiètudes de L'Association Santé Environnement France (ASEF), en assurant que l'eau du robinet était «très contrôlée, à tous les stades». Dans un communiqué, le ministère indique que «le contrôle sanitaire de l’eau couvre chaque stade du circuit de l’eau, de la source jusqu’au robinet du consommateur, c’est à dire les captages, les stations de traitement, l’inspection des installations de production et de distribution». Ce contrôle se traduit «chaque année par plus de 310.000 prélèvements et plus de 8 millions de résultats analytiques portant sur près de 800 paramètres mesurés» insiste-t-il, en réponse aux accusations portées par le film, dont le titre annonce "Du poison dans l'eau du robinet". Suite au film, l'Association Santé Environnement France (Asef), qui regroupe près de 2.500 médecins en France, a déjà annoncé son intention de lancer des «analyses sur 10 sites français» visant à déceler l'éventuelle présence de résidus toxiques de médicaments dans l'eau du robinet.Selon elle, il ressort du film que des millions de Français boivent une eau trop chargée en aluminium, nitrates, pesticides, médicaments, qui peut parfois même être radioactive.
Le gouvernement défend l’eau du robinet
Publié le 18/05/2010
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature