La projection en 3D peut être très pénible voire génératrice de maux de tête ou de nausées si la vision binoculaire n’est pas parfaite. C’est l’observation du College of Optometrists in Vision Development alors que le film de James Cameron entre dans sa cinquième semaine en tête du box-office. L’effet 3 D est du à la projection d’une image différente dans chaque œil, au cerveau d’assurer la fusion pour que l’effet 3 D prenne toute sa dimension et ce, pendant 2H 40 d’action ininterrompue. Si les images ne sont pas perçues correctement, il est très difficile d’intégrer les deux images et l’effet 3 D disparaît. Mais tout le monde n’est pas « 3D ready » : « il y a une grande variété de troubles de la vision qui peuvent causer des problèmes intermittents où vous voyez en 3D seulement pendant certains moments » a expliqué le Dr. Bradley Habermehl, Président du College of Optometrists in Vision Development. Des études ont montré que 56 % des personnes de 18 à 38 ans ont un ou plusieurs problèmes de vision binoculaire et ont des difficultés à voir en 3D. Les 5 % souffrant d’amblyopie ou de strabisme sont incapables de visionner des films en 3D. Mais il existe des méthodes pour rééduquer certains troubles de la vision. Dr. Susan R. Barry, professeur de neurobiologie Mount Holyoke College, (South Hadley, Massachusetts) a vu sa vie se métamorphoser quand elle a pu voir en relief après un programme d’optométrie. Son changement de perspective l’a poussée à écrire un livre « fixing my gaze »
Le film Avatar, révélateur de troubles de la vision
Publié le 20/01/2010
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source : medical news today
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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