« Si elle n'avait pas eu l'esprit absorbé par le procès qu'elle venait de gagner, Katie n'aurait peut-être pas pris son virage aussi vite, mais elle était encore sous le coup de l'intense satisfaction que lui avait procurée la sentence de culpabilité. »
Un accident (sans gravité) suit. Et voilà Kathleen De Maio, procureur adjointe et jeune veuve accorte, emmenée à l’hôpital où, de fil en aiguille, elle se retrouve dans l’orbite du mystérieux Dr H.
« H » pour Highley. Edgar Highley. Un obstétricien de renom, expert en fécondation et pour cette raison considéré comme le messie par certaines de ses patientes. Pas particulièrement aimable pour autant, le gynéco. Plutôt du style poisson froid… Voire surgelé.
Quel lien entre ce Dr H et l’étrange « suicide » d’une jeune femme enceinte, voisine de Katie De Maio ? Il faut lire – pas très longtemps, le nom du coupable étant vite livré – ce polar très « eighties » pour le savoir. Et ce récit de complot médical s’achevant par un grand numéro haletant de chasseuse/chassé, des nerfs solides sont recommandés au lecteur.
Mary Higgins Clark, « La clinique du docteur H », Le Livre de Poche, 1980
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