La détection précoce d’un cancer du poumon ou du sein par un examen sanguin commence à devenir réalité. Les chercheurs de la société de biotech Genclis ont découvert qu’il existe une infidélité de transcription de l’ADN en ARN, un phénomène aboutissant à la formation de protéines « infidèles » (Transcription infidelity Protein ou TIP) dans les cellules cancéreuses. Les chercheurs sont partis du principe qu’il existait une réaction immunitaire et ont imaginé un test de détection des Ig G. Dans le cancer du poumon, la sensibilité est de 87 % et la spécificité de 95 %. Dans le cancer du sein à différents stades d’évolution, la sensibilité atteint 95 %. « L’avenir est dans une meilleure combinatoire des 250 TIPs dans des études prospectives » a expliqué Bernard Bihain, chercheur et Président de Genclis.
Le cancer à la portée d’une goutte de sang
Publié le 13/11/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés

Crédit photo : ©ALFRED PASIEKA/SPL/PHANIE
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature