Les Réseaux sont plus dédiés à la qualité du traitement des patients qu’à leur qualité de vie. La grille d’évaluation du Fonds d'intervention pour la qualité et la coordination des soins (FIQCS) 2009 ne comprend d’ailleurs pas de données sur ce deuxième paramètre. « Or les deux sont très liés, explique Michel Varroud Vial. Pour qu’un traitement réussisse, on l’intensifie ; mais plus le fardeau thérapeutique est lourd, moins bonne est la qualité de vie. C’est pourquoi à chaque intervention thérapeutique, nous incitons au renforcement de ces actions d’éducation et d’accompagnement, individuelles ou collectives ; l’important est que les patients diabétiques se parlent. Cela participe à l’efficacité thérapeutique et au phénomène essentiel d’ajustement à la maladie : s’adapter au traitement en souffrant le moins possible au quotidien ».
Associations et réseaux
L’avis du terrain
Publié le 13/11/2009
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Prendre en compte l’avis du patient, la manière dont il vit sa maladie… un rôle qu’endossent très bien les associations de patients, à l’exemple du « patient-expert » de l’AFD. Un concept également familier aux Réseaux.
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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