Pour certains jeunes l’attachement à la campagne se couple d’opportunités professionnelles dans ces territoires, ce qui les encourage d’autant plus à opter pour le CESP. « Dans l’Oise, je sais qu’il y a déjà trois maisons médicales qui ouvriront à ma fin d’internat. C’est Inespéré. M’installer en ville n’est pas un objectif premier. Surtout que le fait de pouvoir s’installer en maison médicale m’a confortée dans mon choix. Si je devais m’installer seule, je n’aurai pas opté pour une zone rurale. Quand on commence, on a besoin d’échanger avec d’autres médecins. Et puis si j’ai besoin de m’absenter, je sais que d’autres médecins sont à disposition pour me remplacer », argumente Marie-Adeline Toussaint. Pour Audrey Guierre, c’est la pluridisciplinarité qui est mise en avant. « Être médecin généraliste à la campagne, ça me va. J’aime beaucoup les zones rurales, le relationnel avec les patients, le paysage, le calme... Donc je suis d’accord pour m’installer dans une zone rurale, mais s’il y a une maison de santé pluridisciplinaire.».
Maisons médicales
L’attrait des modes d’exercice collectif
Publié le 18/05/2012
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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