Cinéma
Les nouveaux films
De Lucian Pintilie
Un ancien bourreau du régime communiste roumain, reconverti dans l'apiculture, témoigne des horreurs qu'il a commises mais personne ne veut l'entendre. Un film dérangeant et utile, parrainé par Amnesty International.
« La Bande du drugstore »
De François Armanet
Journaliste (« le Nouvel Observateur », « Libération »), Armanet porte à l'écran son roman autobiographique du même titre, dans lequel il fait revivre, avec la musique d'époque, les jeunes gens de bonne famille qui fréquentaient le drugstore des champs-Elysées dans les années soixante. Des « minets » incarnés notamment par Mathieu Simonet et Aurélien Wilk.
« Requiem »
D'Hervé Renoh
Quatre criminels endurcis s'évadent de prison et se réfugient dans un monastère cistercien coupé du monde.
« Les Araignées de la nuit »
De Jean-Pierre Mocky
Le cinéaste qui tourne plus vite que son ombre a choisi un sujet d'actualité brûlante pour son 45e film : cinq candidats à la présidentielle sont assassinés et l'argent de la campagne pourrait venir de hold-up !
« Nous étions soldats »
De Mel Gibson
L'histoire vraie du lieutenant-colonel Hal Moore et de ses soldats encerclés par l'armée nord-vietnamienne. Gibson incarne bien sûr lui-même le héros de ce film qui se veut antimilitariste.
« Sous le silence »
De Tom McLoughin
Un psychothérapeute (Andy Garcia) devenu professeur après le suicide de son fils s'occupe d'un adolescent qui a un très lourd secret.
« La Prophétie des ombres »
De Mark Pellington
Dans les années soixante, des phénomènes surnaturels terrifient la population d'une petite ville de Virginie : un drame psychologique s'inspirant de faits réels avec Richard Gere et Laura Linney.
« La Vengeance de Monte-Cristo »
De Kevin Reynolds
Alexandre Dumas une nouvelle fois adapté par Hollywood, avec Jim Caviezel, Guy Pearce, Richard Harris.
« Jalla ! Jalla ! »
De Josef Fares
En Suède, un immigré libanais file le parfait amour avec une jeune Suédoise mais son père veut le marier avec une Libanaise : une comédie familiale qui n'a d'autres objectif que de « divertir les gens et les rendre heureux en les faisant rire », explique le réalisateur arrivé en Suède avec sa famille en 1987, à l'âge de 10 ans.
« La Saison des goyaves »
De Dang Nhat Minh
A Hanoï, un homme observe la maison où il a vécu enfant ; en tombant d'un goyavier, quand il avait 13 ans, il a perdu la raison.
« Et si on parlait d'amour... »
De Daniel Karlin
L'amour et la sexualité à travers « quatre portraits de gens à la fois uniques et représentatifs de l'évolution de notre monde ». Echangisme, pratiques collectives... un film interdit aux moins de 12 ans.
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