Le cinéma allemand a retrouvé sa vigueur. En témoigne, entre autres, le succès de « Good Bye Lenin », de Wolfgang Becker. On pourra aussi le vérifier cette semaine à Paris, au cinéma l'Arlequin, avec le festival qui lui est consacré pour la 8e fois.
Ouverture aujourd'hui avec « Rosenstrasse », de Margarethe von Trotta, qui évoque à partir d'un événement familial contemporain le combat des femmes allemandes qui tentèrent de sauver leur mari juif en 1943. Suivront jusqu'au 21 octobre 10 films récents, projetés en présence des réalisateurs, parmi lesquels : « Au loin les lumières », qui retrace plusieurs tentatives d'immigration de la Pologne vers l'Allemagne de l'Ouest ; « Cur d'éléphant », où l'on retrouve le jeune Daniel Brühl, vedette de « Good Bye Lenin ! », en boxeur ; ou dans un tout autre genre, « Une offrande musicale », sur la rencontre de Bach et de Frédéric II de Prusse.
Le programme comprend aussi la présentation de films d'écoles, des uvres en marge (underground, gay, music films), avec une nuit Nina Hagen (film et spectacle, le 20), un ciné-concert (« le Journal d'une fille perdue », accompagné par l'ensemble d'Aljoscha Zimmerman, le 21) et des productions pour la jeunesse.
Tél. 01.45.44.04.28, www.festivalcineallemand.com.
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