Pour le Pr Dominique Turck, Comité de Nutrition de la SFP (Hôpital Jeanne de Flandre Lille): « Démontrer les excès et les déficits constatés sous lait de vache serait de réaliser des bilans sanguins et de s’assurer que ces enfants sont en situation de déficits avec des anomalies biologiques pures, ou des situations de carence c’est-à-dire des signes biologiques associés à des signes cliniques. La littérature internationale est relativement modeste sur le sujet tout simplement parce que les laits de croissance diffusent très progressivement en Europe et outre-Atlantique. Le discours du médecin doit être simple, modéré et surtout non culpabilisant : "Si vous choisissez le lait de croissance plutôt que du lait de vache vous avez plus de chance de couvrir les besoins de votre enfant en fer, en acides gras essentiels" »
Laits de suite et de croissance, un « plus » accompagnant la diversification
Publié le 26/06/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Généraliste: 2494
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature