Parmi les facteurs de risque d'addiction, les antécédents familiaux sont au premier plan. La présence d'addictions quelles qu'elles soient chez les parents fait partie du problème de l'adolescent et nécessiterait de la part du médecin de famille d'en prendre en charge tous les acteurs. "La plupart des patients ont une relation de confiance avec leur médecin, que celui-ci n'ose pas assez utiliser alors qu'il est le mieux placé pour connaître chacun des membres de la famille et son histoire et aborder le fait que l'adolescent a des problèmes avec le cannabis ou l'alcool certes, mais qu'il n'est pas le seul à souffrir d'addiction. Le médecin est l'unique interlocuteur qui puisse se permettre de réunir toute la famille pour leur proposer d'en parler et d'y réfléchir de manière dédramatisée, d'offrir son aide, voire d'envisager une consultation de nature familiale. Ce serait plus motivant pour l'adolescent de voir que toute la famille est prise en charge" conclut le spécialiste.
L'addiction en héritage
Publié le 23/10/2009
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Source : Le Généraliste: 2502
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