COMME il y a des accros de « Lost » ou de « Prison Break », il y a des mordus de « Doggy Bag », cette « série » littéraire inventée par un Philippe Djian bien franco-français et où suspense et rebondissements s’enchaînent pour explorer les contradictions humaines et la complexité des sentiments. Voici donc la saison 3 de la famille Sollens et de leur petit monde, avec la mère, Irène, qui à la fin de l’épisode précédent s’était fait enlever par un menuisier psychopathe, et ses deux fils ,David – qui a fini par se marier contre vents et marée avec Josianne » –, et Marc, lequel, rappelez-vous, s’était révolté contre les administrateurs véreux de la ville. Lorsqu’ils avaient vingt ans, ces deux-là avaient failli s’entre-tuer pour les beaux yeux d’Edith, qui est finalement partie avec un troisième larron ; mais voilà que, vingt ans plus tard, elle revient. Pourra-t-elle enfin choisir entre les deux frères Sollens ? Le suspense est à son comble...
Bonne nouvelle : les saisons 4, 5 et 6 de « Doggy Bag » sont d’ores et déjà annoncées pour 2007 et 2008.
Editions Julliard, 248 p., 19 euros.
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