Introduite et généralisée dans la convention de 2011, entrée en vigueur le 1er janvier 2012, la rémunération sur objectifs de santé publique (dite ROSP), variante du P4P britannique (paiement à la performance), poursuit trois objectifs principaux : améliorer la qualité des soins aux patients chroniques et la prévention ; moderniser l'organisation du cabinet et la qualité de service ; et renforcer l'efficience des prescriptions (principalement le taux de génériques).
29 indicateurs sont recensés : 9 pour le suivi des pathologies chroniques (diabète, HTA) ; 8 pour la prévention et santé publique ; 7 pour l'efficience des prescriptions ; et 5 pour l'organisation du cabinet. Les résultats sont évalués annuellement pour les médecins traitants, les cardiologues, et les gastro-entérologues.
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