L’avenant signé fin novembre par l’Assurance-maladie et la Fédération française des masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs (FFMKR) est paru au « Journal officiel ».
Ce texte prévoit notamment des mesures incitatives dans les zones sous-dotées et des mesures de régulation démographique dans les zones surdotées.
Dans les zones surdotées, l’accès au conventionnement ne sera possible que si un autre kinésithérapeute cesse son activité libérale dans cette zone.
Un dispositif transitoire de conventionnement dans les zones surdotées a été mis en place pour une durée de trois ans pour prendre en compte la problématique spécifique du premier lieu d’installation des étudiants en masso-kinésithérapie non diplômés.
Une option conventionnelle permet aux kinésithérapeutes qui y souscrivent et qui s’implantent dans une zone sous-dotée de bénéficier d’une « participation aux équipements et aux frais de fonctionnement en lien direct avec l’exercice professionnel ainsi qu’une participation adaptée des caisses aux cotisations sociales obligatoires ».
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