> DE MICHEL HOUELLEBECQ
L'écrivain a tenu à adapter lui-même son roman et il a eu tort. Le clone Daniel 25 est incarné par Benoît Magimel. 1 h 25.
« Mamma Mia ! »
> DE PHYLLIDA LLOYD
Avec Meryl Streep en mère déjantée d'une jeune fille sur le point de se marier sans savoir qui est son père (Pierce Brosnan, Stellan Skarsgard, Colin Firth ?), une adaptation de la comédie musicale à succès construite autour de tubes très années 1970 du groupe Abba. 1 h 50.
« Mirrors »
> D'ALEXANDRE AJA
Pour frémir avec Kiefer Sutherland en veilleur de nuit qui se retrouve face à des miroirs hantés. 1 h 50.
« Rumba »
> DE D. ABEL, F. GORDON, B. ROMY
Burlesque et absurde pour un film signé par trois clowns, le Belge Dominique Abel, la Canadienne Fiona Gordon et le Français Bruno Romy. 1 h 17.
« Max la Menace »
> DE PETER SEGAL
La série télévisée culte des années 1960-1970 adaptée sur grand écran avec Steve Carell dans le rôle de l'agent secret gaffeur, épaulé par la charmante Anne Hathaway. 1 h 49.
« Irrésistible »
> D'ANN TURNER
Une femme a l'impression d'être suivie et soupçonne une charmante collaboratrice de son époux. Un film tourné en Australie en 2006 avec Susan Sarandon, Sam Neil et Emily Blunt. 1 h 43.
« La Cité des jarres »
> DE BALTASAR KORMAKUR
L'adaptation d'un livre d'un grand du polar islandais, Arnaldur Indridason (éd. Métailé et Points), sur un gang meurtrier qui terrorisa le pays dans les années 1970. 1 h 34.
« Cherry Blossoms, un rêve japonais »
> DE DORIS DöRRIE
À la mort de sa femme, un homme suit le conseil de cette dernière et part en voyage, jusqu'au Japon. Comme l'éphémère floraison des cerisiers, il faut saisir le moment et donner à notre être profond la possibilité de se révéler, dit la réalisatrice allemande. 2 h 02.
« Les Cendres du temps (redux) »
> DE WONG KAR WAI
Avec Leslie Cheung et Tony Leung, un film tourné en 1994, présenté dans la version définitive voulue par le réalisateur. Un belle fresque avec arts martiaux et réflexion sur la solitude. 1 h 33.
RÉTROSPECTIVE
Hommage à un grand studio japonais
La Maison de la culture du Japon à Paris poursuit sa rétrospective des grands studios de cinéma japonais en accueillant, jusqu'au 4 octobre, la Shôchiku, fondée en 1920 et principale concurrente de la Nikkatsu pendant l'entre-deux guerres. Ce studio mythique se spécialisa dans les drames et les comédies qui mettent en scène des gens ordinaires vivant en milieu urbain. L'âge d'or passé, il parvint à surmonter le déclin des studios grâce à la série « Tora-san », dans les années 1970. Vingt-trois films sont présentés, de « Choeur de Tokyo » (Yasujiro Ozu, 1931) au « Samouraï du crépuscule » (Yoji Yamada, 2003).
Tél. 01.44.37.95.01, www.mcjp.asso.fr.
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