La police pourra accompagner les professionnels de la santé qui le souhaiteront dans les quartiers difficiles, a annoncé le ministre de l'Intérieur lors de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, le 25 novembre. Nicolas Sarkozy, qui répondait à Henri Cugnenc (UMP, Hérault), a indiqué qu'il avait donné des consignes en ce sens aux forces de l'ordre. Il a cité notamment « les médecins et les infirmières » qui ont à se déplacer « à des heures difficiles ». Le ministre recevra aujourd'hui les représentants des professionnels de la santé.
Lors d'une première rencontre, il y a six semaines, avec Luc Rudolf, inspecteur général de la police nationale, et Jacques Lucbereilh, du cabinet Mattei, plusieurs propositions avaient été avancées par les deux conseillers ministériels (« le Quotidien » du 13 octobre). Parmi ces dernières figurait l'accompagnement ponctuel des visites médicales par un policier, ou un gendarme, en cas d'appel suspect ou de patient reconnu « difficile ».
La police accompagnera les médecins en zones difficiles
Publié le 27/11/2003
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 7435
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature