À cinq mois de la présidentielle, les questions de santé sont à ce point bien installées dans la campagne électorale qu'au moins une candidate en est tombé… malade.
Le choc ?
Causé par l'irruption brutale de ces sujets délicats dans les discours publics ?
Non. Marine Le Pen, championne du Front national, a expliqué vendredi dernier à Paris, dans le cadre d'une convention consacrée par son parti aux thèmes de la santé et du vieillissement, que c'était le programme de François Fillon (LR) en la matière qui lui donnait la « nausée ».
Si les symptômes devaient persister et en attendant la découverte d'un éventuel antidote, un seul conseil : cesser de lire les projets des concurrents.
Regards croisés
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