Selon le Memento medicament 2011 publié jeudi par la Mutualité Française, la part de marché des génériques est passée de 69% à 65% entre 2008 et 2010, en dépit de l’élargissement du repertoire avec la chute dans le domaune public de nombreux brevets. Cette situation s’explique notamment par une utilisation plus systématique sur les ordonnances de la mention « non substituable » par les prescripteurs, selon la Mutualité. Du coup, elle souhaite que l’utilisation de cette mention soit encadrée réglementairement. Le recours plus systématique à cette mention pourrait également être la conséquence « de certaines recommandations de l’AFSSAPS qui préconisent de limiter les changements de médicaments pour certaines classes thérapeutiques comme les antiépileptiques et les traitements de la thyroïde ». En 2010, « la prescription des génériques a permis d’économiser 1,8 milliard d’euros, plaide la Mutualité. Cette économie aurait pu s’élever à 2,6 milliards d’euros, si l’acceptation des génériques avait été totales ».
La Mutualité regrette la baisse de la part des génériques
Publié le 07/07/2011
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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