La réforme des lois sur l'interruption volontaire de grossesse et la contraception, entrée en vigueur le 5 juillet, sera suivie de très près par la délégation aux Droits des femmes du Palais-Bourbon, qui a relevé autant de difficultés pour l'avortement cet été qu'en 2000. La situation a été « particulièrement critique en Normandie, en Rhône-Alpes et en Poitou-Charentes », confirme le Dr Paul Cesbron pour l'Association nationale des centres d'IVG et contraception, qui a constaté des « poches de résistance assez étendues », à l'inverse de Tours ou de Grenoble où « les équipes médicales ont plutôt devancé la loi ». Pour sa part, le Planning confirme que dans le secteur de Lyon, « il a fallu envoyer des femmes en région parisienne, à Nice, dans des cliniques privées, et également aux Pays-Bas et à Barcelone ».
La circulaire d'application de la nouvelle législation a été signée le 28 septembre et les décrets correspondants sont attendus pour la fin de l'année (« le Quotidien » du 1er octobre).
La loi IVG-contraception suivie de très près par l'Assemblée
Publié le 04/10/2001
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6982
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