La recherche s’affine dans cette maladie pour laquelle l’étude de jumeaux homozygotes et dizygotes montre l’imprégnation du terrain génétique dans la susceptibilité à la PR. « Attendre de la génétique une complète explication du déterminisme d’une pathologie est illusoire dans le cadre des maladies complexes » nuance le Pr Philippe Dieudé (Evry) Si les profils HLA DR-1 et DR-4 sont présents dans 60 à 80 % des PR, ils existent chez 40 % des sujets en population générale. HLA-DQ 1 est protecteur et cinq SNIP sont particulièrement associées aux érosions.
La génétique progresse
Publié le 11/12/2009
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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