Des chercheurs américains de l’université de Yale prétendent que les personnes qui souffrent de stress chronique et de dépression accusent une perte de synapses dans le cerveau, ce qui contribue à la pérennisation de leurs troubles affectifs et cognitifs. L’article publié dans l’édition du 12 août de la revue Nature Medicine identifie un interrupteur génétique qui déclenche une perte de connexions cérébrales qui elle-même entraîne une raréfaction synaptique dans le cortex préfrontal sous l’effet du stress ou de la dépression. Les cerveaux de patients déprimés présentent des niveaux inférieurs de l'expression des gènes nécessaires pour au fonctionnement des synapses. 5 de ces gènes sembles régulés par un facteur de transcription unique appelé GATA1.
La dépression toxique pour le cerveau
Publié le 13/08/2012
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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