La CSMF réclame des revalorisations pour les obstétriciens

Ils étaient 1600 il y a six ans, il n’en reste que 1200 aujourd’hui. Le Pôle AOC?CSMF tire un signal d’alarme sur la situation des gynéco-obstétriciens libéraux. Il estime que la hausse des primes assurantielles et les retards de revalorisation tarifaire détournent les jeunes du choix de cette discipline. Les obstétriciens CSMF réclament donc «une revalorisation tarifaire des actes d’obstétrique qui passe par le déblocage de la CCAM technique avec une reconnaissance du coût de la pratique qui tienne compte de la réalité des charges avec l’intégration du coût de la RCP pour les actes à responsabilité.» De même ils demandent que les gardes soit être rémunérée pour tous les obstétriciens, «ce qui n’est pas le cas actuellement» et que le secteur optionnel soit «mis en oeuvre, pour ceux qui le souhaitent, en préservant le secteur 2.»