A la suite de notre article du 24 avril concernant l'identification d'une cause génétique dans une hypothyroïdie néonatale, nous devons préciser ce qui suit en ce qui concerne la contribution de chercheurs français. Parmi les auteurs de ce travail publié dans le « New England Journal of Medicine » du 24 avril figurent en effet : Graziella Pinto et Michel Polak (INSERM unité 845, hôpital Necker-Enfants malades, Paris) et Aubène Léger (groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, Paris).
Dans notre article, le nom du Pr Michel Polak avait par erreur été oublié tandis que Mariella d'Alessandro était citée comme exerçant à Necker, alors qu'elle est de l'université Dundee (Royaume-Uni).
Rappelons que ce travail faisait état de l'identification chez quatre patients d'une nouvelle cause d'hypothyroïdie congénitale : des mutations du gène DEHAL1 qui sont à l'origine d'un déficit en iodotyrosine désiodase, enzyme permettant le recyclage de l'iode.
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