L’ancienne ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, veut faire de Paris une ville avec «zéro perturbateur endocrinien». Mercredi, le temps d'une conférence de presse à son QG de campagne, la candidate UMP à la mairie de Paris a plaidé pour l'accélération de certaines mesures préconisées lorsqu'elle siégeait au gouvernement, notamment dans le cadre du «Plan National Santé Environnement» 2009-2013. Son plan de lutte s'appuie sur cinq points: mesure de la qualité de l'air intérieur, meilleure alimentation dans les cantines, contrôle renforcé de l'eau du robinet, information sur les risques -auprès des femmes enceintes et des professionnels de santé et de la petite enfance- et enfin le développement de la «biovigilance» (l'exposition aux divers polluants en ville peut être mesurée sur des Parisiens volontaires par le biais d'un dispositif portatif). Concernant la qualité de l'air des espaces clos, NKM propose davantage de mesures dans le métro, en partenariat avec la RATP et Airparif. Si elle est élue, la qualité de l'air serait aussi surveillée dans toutes les structures de la ville accueillant des enfants, en application d'un décret de 2011 de la loi Grenelle 2.
La bataille de NKM contre les perturbateurs endocriniens
Publié le 30/10/2013
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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