Le retard en matière d'équipement IRM est en train d'être comblé, explique Bernard Kouchner en réponse à une question écrite d'un député, le Dr Pierre Hellier, élu Démocratie libérale de la Sarthe.
Pour le ministre délégué à la Santé, un premier arrêt du 8 juin 2000, a permis d'augmenter le parc antérieur de 34 %. Au total, entre 1998 et 2001, explique-il, le nombre d'appareils autorisés aura doublé, passant de 137 à 279. Mais cette évolution n'est qu'un début, si l'on en croit la réponse du ministre à Pierre Hellier. En effet, en date du 21 décembre 2001, un nouvel indice des besoins pour l'imagerie à résonnance magnétique a été défini. Ce texte permettra aux agences régionales de l'hospitalisation (ARH), désormais compétentes en la matière, d'augmenter le parc autorisé de plus de 50 % par rapport à la situation actuelle.
La France, précise encore le ministre délégué à la Santé, se situera alors au même niveau d'équipement que la plupart des autres pays européens. Avec plus de sept appareils par million d'habitants, les délais de rendez-vous seront significativement réduits. Pour le ministre, qui note que la qualité du parc français est extrêmement forte comparée à celle des autres pays, une nouvelle augmentation de l'indice des besoins pourrait intervenir prochainement.
IRM : le retard français en passe d'être comblé, selon le ministère de la Santé
Publié le 11/03/2002
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 7084
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature