Selon le Pr Louis Monnier (hôpital Lapeyronie, Montpellier) : « Dès que les antidiabétiques oraux s’avèrent incapables de faire passer l’HbA1c en dessous de 7%, la question de l’insulinothérapie se pose, à utiliser précocement car les artères du diabétique gardent la mémoire d’un mauvais équilibre glycémique plus d’une décennie auparavant », nous enseigne l’étude Post-UKPSD. Initiée précocement, « l’insuline obtient un bon rapport bénéfice/risque, résume André Grimaldi (sce de diabétologie-métabolisme, GH Pitié-Salpêtrière, Paris). L’étude TULIP a confirmé que l’insulinothérapie (ici la glargine) pouvait être envisagée entre 7-8%, malgré un suivi des règles hygiéno-diététiques et une bithérapie orale à dose maximales ». « Je propose de prescrire, poursuit-il, les analogues lents en seconde intention chez ceux ayant des hypoglycémies nocturnes sous NPH avec des objectifs d’HbA1c<7%. Une prescription qui se discute en première intention chez les DT2 à très haut risque cardiovasculaire ».
Insuline : à utiliser dès 7% d’Hba1c
Publié le 12/06/2009
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Source : Le Généraliste: 2492
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