Trois ans après la mise en place de la filière de médecine générale, « le résultat est pour le moins mitigé » jugent les internes de l’ISNAR qui regrette que « la lisibilité des postes soit quasi nulle pour les courageux candidats ». En effet, si la loi HPST prévoit que dorénavant le nombre de chef de clinique en médecine générale ne peut descendre sous 50 chaque année, le compte ne sera pas bon à la rentrée. Seule une quinzaine de chef de nouveaux cliniques seront à leur poste, six candidats sont sans postes et l’un menace de démissionner. L’Isnar regrette que « les doyens qui seuls semblent ne pas avoir compris les enjeux de la FUMG (Filière universitaire en médecine générale), ne font manifestement rien pour respecter la loi » et n’utilisent pas les budgets alloués à la médecine générale.
Inquiétude pour le clinicat de médecine générale
Publié le 11/09/2009
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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