Selon une étude de cohorte danoise publiée dans le British Medical Journal, les inducteurs de l’ovulation n’exposent pas à un risque augmenté de cancer de l’ovaire. Le travail a porté sur le suivi de 54 362 femmes ayant des problèmes de fertilité traités durant une période de 35 ans (entre 1963 et 1998) ainsi que 156 femmes ayant eu un cancer de l’ovaire épithélial. Au terme du suivi, les chercheurs objectivent un risque relatif de cancer de l’ovaire de 0,83 (0,5 à 1,37) pour l’ensemble des gonadotrophines mais le risque atteint la significativité pour le clomifène 1,14 (0,79-1,64). « Un effet du hasard », selon les auteurs. Néanmoins, les femmes n’ont pas encore atteint l’âge où ce type de cancer atteint son pic. D’où l’intérêt du suivi prolongé que prévoit l’étude danoise.
Innocuité des inducteurs de l’ovulation
Publié le 13/02/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Généraliste: 2477
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature