Ils ont dit

Publié le 11/04/2002

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- Jacques Chirac :« L'insécurité qui ronge notre pays est une vraie cause de fracture nationale. »
- Noël Mamère (Verts) :« Le candidat président ferait mieux de s'appliquer à lui-même la fracture morale et de nous expliquer comment il a pu déjeuner pour 4 000 balles par jour à la mairie de Paris. »
- Didier Migaud (PS) :« Jacques Chirac, c'est à la fois Thatcher et Berlusconi réunis. »
- Corinne Lepage (Cap 21) :« Lalonde a dragué tous les partis, de droite comme de gauche, par ambition personnelle. C'est un personnage odieux. »
- Alain Madelin (DL) :« Je ne vois pas comment Lionel Jospin peut être élu, mais la droite peut être battue. »
- Sylviane Jospin :« Ce que je vis est tout de même très romanesque. »
- Arlette Laguiller (LO) :« Débattre avec Daniel Cohn-Bendit, quelqu'un qui diffame autant Lutte ouvrière, certainement pas. Ce débat se fera le 21 avril, le tribunal du peuple tranchera. »
- François Bayrou (UDF) :« Je suis décidé à ne parler du deuxième tour que quand le premier tour aura eu lieu. Je n'ai aucun contact (avec les chiraquiens) et aucune préparation de cet ordre. »
- Jean-Marie Le Pen (FN) :« La France est en danger de mort. Nos sommes censés élire un président de la République alors que déjà, la République n'existe plus. »
- Nicolas Sarkozy (RPR) :« J'ai toujours été de droite, je n'ai même pas fait mon petit complexe gauchiste. »
- Robert Hue (PCF) :« Mon adversaire, c'est la droite, et certainement pas Arlette Laguiller. »