Ils ont dit

Faits et gestes

-  Lionel Jospin (PS) : « Dans cette campagne, il y a un absent et un revenant ; un absent : c'est le septennat du président sortant, et le revenant serait la supposée menace socialiste. »
-  Jean-Pierre Chevènement (MDC) : « On a inventé l'élection à un tour, le second (...) Le premier n'existe plus. »
-  Robert Hue (PCF) : On assiste à « une bipolarisation folle, insupportable du premier tour ».
-  Claude Goasguen (DL, chiraquien) : « Le candidat Chirac n'est pas le président Chirac. Le président Chirac représente tous les Français. Le candidat Chirac doit prendre conscience qu'il est à la tête d'une France, la France de droite et du centre. »
-  Corinne Lepage (CAP 21) : « Si j'ai le sentiment que ce qui me paraît fondamental n'est pas pris en compte par Jacques Chirac, je n'appellerai pas à voter pour lui. »
-  François Hollande (PS) : « Nous devons être ceux qui portent l'espoir » face à « ceux qui à longues enjambées promettront tout sachant ne rien tenir. »
-  Noël Mamère (Verts) : « Je dois délivrer un message plus lisible (...) Je vais concentrer mon message sur trois grands défis : l'écologie, la solidarité, la responsabilité. » (« Libération »)
-  Jean Saint-Josse (CPNT) : « Sans pouvoir à l'Assemblée nationale, le président de la République est juste bon à inaugurer les chrysanthèmes. »