Ils ont dit

Publié le 26/02/2002

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- Jean-Pierre Chevènement : « L'un, le roi fainéant, Jacques Chirac, l'autre, le maire du palais, Lionel Jospin, se sont défaits de tous les leviers des commandes, ils ont brouillé les repères, ils ont mis la France en pilotage automatique quand ce n'est pas à la remorque. » (France 3)
- Jean Glavany, directeur de campagne de Lionel Jospin : « Je n'imagine pas une seule seconde que Jean-Pierre Chevènement (...) , le soir du premier tour, puisse se tromper et ne pas rejoindre la gauche. S'il le faisait, ce serait une trahison, mais je n'y crois pas. »
- François Hollande (PS) : « Nul n'est candidat de la France. La France n'est pas un parti, c'est une cause, la France n'appartient à personne, mais à tous les Français. La France ne présente pas de candidat, elle choisit un président. »
- Laurent Fabius (PS) sur l'UEM : « L'union, on la voit pas vraiment, et le mouvement non plus. On a plutôt l'impression que ces trois lettres UEM, c'est "une espèce de Meccano" ou bien encore "une envie de Matignon". »
- Charles Pasqua (RPF) : « Je ne suis pas candidat pour amener des électeurs à Jacques Chirac. » « Les électeurs ne sont pas du bétail, on ne va pas à la foire à l'encan. Ils sont assez grands pour se déterminer par eux-mêmes. »
- Jean-Marie Le Pen (FN) : « Je suis le seul candidat souverainiste en position de sortir du groupe de tête pour le deuxième tour. »
- Bruno Mégret (MNR) : Jacques Chirac « détruit la droite », Jean-Pierre Chevènement, le « leurre de Belfort » est un « drôle de ragoût politique », Lionel Jospin, « Terminator de la politique (...), détruit la France ».