Il est indispensable d'éviter les exacerbations

UN RAPPORT réalisé à l'initiative de l'Organisation mondiale des médecins de famille qui existe aux Etats-Unis (la WONCA pour « World Organization of Family Doctors ») a souligné, lors de la Journée mondiale des maladies pulmonaires chroniques obstructives (World COPD Day), l'importance du traitement des exacerbations des BPCO. Plus de 90 % des praticiens interrogés se sont accordés à dire que le réduction des épisodes d'aggravation est vitale pour améliorer la qualité de vie. 70 % pensent que réduire les visites à l'hôpital est un élément fondamental.
En effet, malgré les recommandations actualisées et les progrès des traitements, un quart des patients hospitalisés avec une exacerbation sont décédés dans les douze mois qui suivent. Plus de 90 % des personnes affectées témoignent que leur vie quotidienne est sérieusement altérée par les épisodes d'exacerbations.
Le rapport intitulé « Le temps de vivre » (« Time to Live Report », réalisé avec le soutien des laboratoires AstraZeneca) démontre qu'il est essentiel de repositionner le traitement de la Bpco, car 81 % des praticiens pensent encore qu'un traitement symptomatique est la meilleure option thérapeutique.
Pour éviter des souffrances inutiles, les spécialistes insistent sur la nécessité de suivre les recommandations fondées sur des résultats récents et solides : l'association d'un bronchodilatateur de longue durée d'action à un corticostéroïde inhalé réduit de manière significative la fréquence et l'intensité des exacerbations de la Bpco , ce qui, en plus du soulagement symptomatique apporté, permet d'éviter la détérioration de la fonction pulmonaire.
Rappelons que le laboratoire AstraZeneca propose Symbicort, une combinaison de budésonide (corticostéroïde inhalé) et de formotérol (agoniste bêta de longue durée d'action), qui est indiqué pour le traitement de la Bpco et de l'asthme.