Le risque de surtraitement compte parmi les principaux arguments des opposants au dépistage du cancer de la prostate. Dans ce contexte, pouvoir identifier les patients à risque de formes agressives pourrait mettre tout le monde d’accord en permettant de mieux cibler les patients à traiter et éviter ainsi le surtraitement.
Plusieurs marqueurs ont été identifiés dans cette optique mais aucun pour le moment n’est utilisable en pratique courante. Avec deux projets concernant le diagnostic précoce des formes agressives, le programme d’actions intégrées de recherche sur le cancer de la prostate, financé par L'INCa, l’ARC et la Ligue nationale contre le cancer devrait contribué à faire avancer les choses dans ce domaine.
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