Martin Trenneborg, généraliste suédois qui avait drogué, enlevé et séquestré une femme dans un "bunker" en septembre 2015, a vu jeudi sa peine réduite en appel de dix à huit ans de prison.
La raison de cette réduction de peine ? "Les troubles psychiques de l'accusé" cette fois retenus comme circonstances atténuantes par la cour d'appel alors que les juges avaient estimé, en première instance, que le médecin de Kristianstad n’en avait aucune, hormis un "léger trouble psychiatrique".
Si le Suédois de 38 ans a reconnu l'enlèvement et la séquestration de la jeune femme qu'il avait endormie à l'aide de sédatifs saupoudrés sur des fraises, il a en revanche toujours nié le viol dont l'accuse sa victime. En première instance comme en appel, il a été innocenté sur ce point, faute de preuves.
Les dommages et intérêts de 180 000 couronnes (environ 19 700 euros), qu'il avait été condamné à verser, ont également été confirmés en appel.
(Avec AFP)
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